nom, prénoms les miller, c'est un mélange de marais et de pot pourri. de rideaux fleurit et une carabine suspendue au mur. d'inconscience niaise et de vacarme gargarisé. ils sont tout ce qu'on ne veut pas comme voisin. comme touriste. comme connaissance. le rire qui ricoche sur les murs pour camoufler les propos disgracieux du patriarcat. puis il y a toi. « hi i'm birch, and my life is kinda crazy ». âge, date et lieu de naissance le mode d'emploi du quart de siècle+1 flambé pour te réchauffer. une mentalité qui n'a suivi aucune réglementation. on voudrait que tu agisses comme ton âge le prévoit et quelques secondes plus tard, ta mère te maquille le front d'un baiser. p'pa continue de se plaindre qu'vous aurez jamais du quitter l'texas (il s'ennuie de ses steaks) et tu t'fêtes seul sans bougie à souffler à chaque vingt-huit mai. « hooray to me »origines le drapeauaméricain de mauvaise qualité qui tient de misère sur les lattes de la maison. des étoiles qui ont embrassé d'autre cieux lors d'intempéries. les lignes délavées par les quelques lueurs de soleil. au lieu de prier autour d'un repas, les miller chantent l'hymne, le poing sur le coeur. « o! say, can you see, by the dawn's early light »nationalité t'aurais pu aspirer à quelque chose de mieux. refuser la plus fatale des quêtes des plaines étranges pour devenir quelqu'un. être considéré l'un d'eux, au lieu d'être un touriste parmi les autres. la case à part. et pour poursuivre l'insolence humaine, le manque de gloire et la perte d'histoire, tu continues de clamer : «america ! fuck yeah ! »occupation (£££££) ton or se récolte par le regard. par les pas qui ralentissent et la curiosité des autres. toi qui manipule les cartes en sensation narcotique. les pupilles qui se dilatent, qui cherchent et s'échappent. t'es magicien, envoûteur. toujours un peu odieux, un peu nu. un peu déjanté, un peu passionné. puis parfois, tu oeuvres une nouvelle vie sur des toiles. ton linge en fresque par inattention. tu t'affiches sans intéresser. et ce pour quoi tu prendrais quelques billets, fini dans les poubelles. ça mène à rien, être artisan de rues. « i'll need a volunteer, how about you, with the eyes? »statut l'amoureux solitaire. tu es celui qui a passé sa vie une fleur dans la main. l'intention derrière les pétales fanées. le platonisme en arme, en ouverture sur le monde, en désastre sentimental. pour toi, un baiser savoureux n'est pas plus différent qu'une poignée de main. « what's the problem? i don't see no ring on your hand »orientation tu sens encore l'arme sur ta tempe. le canon encore fumant, l'oeil rivée sur la balle dans le bois. la prochaine, elle explose ta mémoire. tes passions. tes possibilités. il n'y aura pas de gay chez les miller. pas devant pops. s'il savait comment ton coeur se révolte. comment il bat plus grand que ce concept. toi même, tu ne sais pas ce qui vrombit jusqu'aux bouts de tes doigts. la pansexualité, ce n'est pas une étiquette qui s'est déjà collée sur ta langue. « we're not lovers, we're just strangers with the same damn hunger »situation familiale le taux d'respect est peut-être équivalent au taux de dents dans la bouche, chez les miller. complètement manquant, fuyant à l'état putride, faux. tu as bien grandit, entre la terreur, le libre-arbitre et l'amour maternel étouffant. tu n'en veux à personne, de te réveiller avec un mulot mort dans tes draps. tu n'en veux à personne de ne pas parvenir à avoir une once d'intimité. c'est un peu un contrat muet, de vivre la misère et la fierté mal interprétée. « all our neighbors they complain all the time, they really don't understand my kind »groupesaturn return.
maeve / funhouse.pré-lien/inventé inventé. crédits poésies cendrées les icônes, et aftermath pour l'avatar.
tout sur l'artiste
j'aime pas les oraux
le caractèreboo. l'éléphant dans un magasin de porcelaine. au corps pantin, ficelles coupées. t'as beau vouloir faire de ton mieux. tu marches toujours sur des oeufs.
tu apparais toujours comme l'ombre dans le brouillard. aura sombre, lorsque ton sourire dort. lorsque tes traits se reposent, que tes sourcils de froncent. l'Homme est fait pour se fier à l'image. au premier portrait, coups de pinceaux trop frais. t'en veux à personne de serrer la mâchoire en changeant de trottoir. mais les autres savent, qu'il y a une chaleur naturelle au retroussement de tes lèvres. t'es le fuseau de lumière derrière les nuages. quand t'as l'envie de supporter le monde sur tes épaules et enterrer tes problèmes six pieds sous terre.
ils disent, la pomme n'tombe jamais loin de l'arbre. à épier ce qui t'a fait grandir, pas étonnant que t'es une pâle copie. même si tu cries que t'es c'que t'es. t'as jamais grandit pour être toi-même. toujours un peu perdu, toujours un peu froissé.
une fraction d'innocence. d'inconscience. d'irrespect. à faire ce que tu désires accomplir sans te méfier du regard des autres. des commentaires qui volent bas. du jugement perçant. si quelqu'un s’insurge de ton attitude désinvolte, tu t'en foule une côte. le rire facile, essoufflant, blessant. le public te fait vivre, te fais naître. la solitude t'affaiblit, t'agresse.
la convenance au feu. penser avant d'agir à grande accolade, à plan foireux. t'es faussement preux, les genoux qui claquent. toujours intense, sans demi-mesure.
mais t'es là, même si parfois ça ne te tente pas. à offrir ta veste. à tendre les bras. à essuyer les larmes. à écouter. tu te poses pour les autres, jamais pour toi. t'as jamais été la star de ton histoire. les autres te vont vibrer. te sensibilise sans le vouloir. peuvent parfois te manipuler par les sentiments. parce que même si tu lèves le menton au jugement, tu culpabilises au moindre vent de travers. parce que tu agis avant de penser. tu le sais, t'en as conscience. tu sais énumérer tes défauts à doigt lever. incapable de changer. l'danger, de voir les dos se tourner.
C O N roméo à deux balles. friendzone.
bruyant. faussement indépendant. tu n'es qu'un grand gamin, qui n'a jamais eu assez de responsabilité. toujours à préférer la sortie facile, que les détours compliqués. pourtant tu passes des nuits éveillé à peaufiner ta passion. à écouter les étoiles te parler, à siffler au rythme du vent.
mistholm, home sweet homedepuis quand êtes-vous sur l'île ? il y a deux ans que tu t'es maintenu accolé à la carcasse de fer sans jamais regarder dans l'eau. maman qui prenait une photo du moindre changement de paysage. un arbre différent d'un autre, au loin. un nuage plus pâle qu'un autre. puis le brouillard et que le brouillard. papa lui, passait son temps à se récurer les dents, sans jamais manger quoi que ce soit. le grognement jamais loin pour éviter qu'une personne s'approche trop. vous aviez l'air de prendre l'air pour la première fois. le visage blanc, les pommettes rosées et les joues creuses. vous imaginez l'merveilleux portrait familial avec jonah derrière.
qu'en pensez-vous ? croyez-vous à toutes les légendes et mythes qui circulent ? t'as le sourire nerveux, la main sur la nuque, le corps qui se dandine. tu ne te maintiens pas sur place, lorsqu'on te parle de présage, de murmures, d'esprit ou n'importe quoi que contient la boite de pandore. le sceptique terrifié qui fait semblant de lever le poing pour combattre le mal, mais le premier à crier si on effleure ton épaule dans un moment d'angoisse. tu fais semblant que ce n'est que des bêtises, le regard levé, lèvres pincées. mais tu ne te mets jamais en tête de ligne pour les preuves.
êtes-vous impliqué dans la vie de l'île ? vous connaît-on par ici ? les miller qui débarquent, les voix s'élèvent. un automatisme, depuis toujours. les regards en coin, les murmures comme un vent sec dans les rideaux. la fausse gentillesse pour les bêtes. tout le monde, connait les miller. pas besoin de s'impliquer. pas besoin d'aider à l'orphelinat ou offrir une cigarette au sang-abris de l'île. seulement le besoin d'être. et toi, énigmatique personnage qui tente l'incroyable, le jamais vu. vous devenez une légende à vous seul, aussi obscure puisse-t-elle être.
pensez-vous rester encore longtemps ? avez-vous des proches, du boulot, qui vous retiennent sur Mistholm ?toi, t'as suivi parce que m'man, tu l'aimes bien. surtout que tu voulais éviter le déclenchement d'une nouvelle guerre si tu disais non. maman elle se refuse d'avoir son petit birch trop loin. il y a rien ici, vraiment pour toi. tu ne sais même pas ce que maman trouve à cet endroit. il y a peut-être quelques sourires que tu continues de vouloir illuminer. des âmes que tu désires découvrir, embrasser, embraser. de toute manière, t'as pas d'avenir là-bas, autre part. nul part. t'es quand même rien qu'un miller.
faits diversfait diversmaman c'est : un temps fou devant les revues à potins; c'est les petites brochures pour économiser gros en magasin; le surplus de poids qui ne gêne pas; les collants néons et les chandails fleurit; le rouge à lèvre toujours parfait même après un burger; les cheveux abandonnées dans des rouleaux, même à l'épicerie; l'amour inconditionnel; la manipulation inconsciente sentimentale; les télé-romans à l'eau de rose dans une langue étrangère; les souliers trop petits; les lunettes maintenues sur un cordon; les grandes joies et les grandes peines; les longs arrêts dans la rangée des céréales; les questions pendant les films; celle qui manque de discrétion et qui ne sait pas murmurer; la plus petite vessie au monde; la coupe de vin blanc à tous les soirs peu importe le repas; la saleté chassée d'un visage à coup de pouce baveux; l'inquiétude sur les calories, mais celle qui mange ce qu'elle veut; celle qui ne trouve jamais rien dans son sac-banane; le rire à gorge déployée; les petites menthes dans le creux des poches; l'incompréhension de la technologie; la facilement épatée; les repas déposés sur le perrons des voisins; la m'man de tous, quand elle est pas pointée du doigt. fait diverspapa c'est : toujours une camisole aux fibres étirés; les pantalons remontés en haut du nombril; une cigarette éteinte aux lèvres; l'âme américaine pourrie; les ongles jaunit; la voix rauque qui quémande trop souvent sa femme; l'homophobie; la misogynie; le racisme; les films de guerre; s'endormir sur la chaise berçante une bière à la main; alcool tiède; celui qui marche toujours les deux mains derrière le dos, le regard mauvais; le dos arqué vers l'avant, une jambe traînante; celui qui cri sur les jeunes impertinents; celui à qui on ne connait aucun sourire; toujours le son trop fort et pourtant affreusement sourd; le faux fan de sport; le dentier oublier sur une table de restaurant; la menace d'une arme à feu cachée. fait diversbirch c'est: les nuits qui se succèdent; le corps qui se lève difficilement; une appréciation particulière pour la rosée; le style obscur, mais l'amoureux de la simplicité; un fan des films de disney; un adorateur de rock des vieilles années; le poète cachée, papiers froissés; le magicien relativement talentueux, passionné; l'artiste spray-paint ignoré; le respect pour les animaux; le nostalgie engourdi; manger sans ustensiles; les accolades surprises; le premier à se mettre à poil pour un défi; celui toujours partant pour des défis; le friand de sucre; la présence réconfortante; le faux sceptique; le délicat avec les fleurs fragiles; l'impulsivité sans égale; les tatouages faits mains; le pop-corn beaucoup trop salé; les poches toujours pleine de bêtises; une âme facile auprès des enfants; l'imagination saccadée; un paquet de cigarettes toujours froissé ou une clope abandonnée derrière l'oreille; un gameboy à l'écran fissuré; la casquette à l'envers; la pommette bleutée; les morsures légères sur l'épaule; les céréales oubliées dans le lait; l'endormi sur toute surface; un admirateur des ninja turtles; le manque d'éducation, appris à la dure; la crème fouettée direct sur la langue; un plaisir coupable pour le fromage en canne; le manque de gêne, la langue sortie; un adorateur des films nuls; la bêtise humaine. fait diversl'enfance, c'est : les mains pleine de boue; les genoux écorchés; l'épine sous le pied; courir à poil dans les champs; tirer dans les arbres; grimper sur les branches; se retrouver plus d'une fois à l'hôpital par mois; apprendre à la maison; regarder des vieilles cassettes aux souvenirs gravés sur les films déjà existants; rentrer pas trop tard pour éviter le bonhomme sept-heure; du pain cramé à presque tous les matins; le pot de biscuits placé trop haut; la veilleuse jamais éteinte; la peluche "lapin magicien"; les vêtements rapiécés; jamais de nouvelles choses; la pauvreté apprécié à sa juste valeur; les amitiés hypocrites; les dents brisés sur des pommes; être pousser dans les murs par son père; les doigts oranges de cheese puffs; les douches jamais assez chaudes; les bains avec maman; la maigreur; les cheveux lécher sur le côté par maman; le skateboard réparé à tous les jours par le voisin; les roches dans les vitres; le rire cristallin; les tapes derrière le crâne; une poussée de croissance rapide et douloureuse. fait diversl'adolescence c'est: une remise en question identitaire; les ongles peints; les prises de têtes violentes avec papa; le fusil sur l'épaule, visé la mire vivante; passer pour le simplet sans éducation; les passions qui se développent; les défaites qui s'accumulent; les amours qui ne font pas de sens; le doigt pointé dans ta direction; les amitiés qui s'effritent; le fast-food à tous les soirs; les recherches internet, découverte d'un certain déficit de l'attention; incapacité du travail en service à la clientèle; les longues traversées américaines en subway; les écouteurs collées dans les oreilles; le coeur qui se fait à battre; la visé d'une haine publique; étiqueté comme l'enfant miller, pas comme birch; l'alcool en intraveineuse; les migraines incessantes; la peur naissante; le sentiment de crever; la vie éphémère mais colorée.
Rome Balazs
anonyme rieur
date d'inscription : 26/07/2020 messages : 221
Lun 27 Juil 2020 - 0:18
je termine d'écrire pour toi JE REVIENS FEELSER
edit. rien à feelser et pourtant j'arrête pas de baver devant tes mots. ok. épouse-moi.
Pearl Llewellyn
légende urbaine
date d'inscription : 13/07/2020 messages : 582 pronouns : elle.
Lun 27 Juil 2020 - 0:43
MAIS. JE SUIS EN ADORATION ? ENTRE COLE ET CE DEBUT ?? Ok j'ai compris, vous voulez tous ma mort en fait. GRAVE HEUREUSE DE TE REVOIR PARMI NOUS. J'ai pas eu le temps de répondre à ton mp, mais je suis trop contente de ton choix final. J'aurai été bien triste si tu n'avais pas le temps. BIENVENUE SUR LITS !! Hâte de voir ce que tu nous réserves !
Billie Florey
anonyme rieur
date d'inscription : 26/07/2020 messages : 216 pronouns : elle.
feuille de personnage relations: disponible : yes.
@Pearl Llewellyn TOUJOURS AUSSI BELLE TOUJOURS AUSSI DOUCE faut dire que j'avais envoyé le mp à la limite de l'ouverture du forum, ce qui était franchement con de ma part. merci p'tit coeur
@Razmo Zenati cri ce nom encore une fois, et peut-être qu'un tour de magie surviendra on sait pas
Erhart Hegewald
légende urbaine
date d'inscription : 12/07/2020 messages : 941
feuille de personnage relations: disponible : 1/5 disponible
Lun 27 Juil 2020 - 19:39
mais ce persoooooooo rien qu'avec ce qui est déjà là, je l'aime d'amour pis un magicien ??? god i like that j'ai tellement envie de faire de belles choses avec toi vite finir cette fiche pour que j'puisse te sauter dessus !!! bienvenue par ici n'hésite pas si t'as la moindre question !!
Invité
Invité
Lun 27 Juil 2020 - 19:45
@Erhart Hegewald ouinnn mais comment je mérite ça moi ? je vais te rattraper au vol, va pas falloir s'inquiéter pour ça. et promis, j'avance cette bêtise humaine dès qu'possible. parce que j'veux m'noyer dans tes yeux.
merci !
Invité
Invité
Lun 27 Juil 2020 - 20:38
Blblblblblbl Pardon j'viens de baver sur ta fiche Cole + ces mots mais, marry me please !! Bienvenue parmi nous divine créature
Invité
Invité
Lun 27 Juil 2020 - 21:04
@Onyx Barrow *sors la serpillière* ça va, c'est pas tous les gens qui ferment étanche. j'vous prépare des onions rings, ou des candy rings. selon la préférence
thankie cutie.
Pearl Llewellyn
légende urbaine
date d'inscription : 13/07/2020 messages : 582 pronouns : elle.
Mar 28 Juil 2020 - 1:30
Birch Miller a écrit:
@Pearl Llewellyn TOUJOURS AUSSI BELLE TOUJOURS AUSSI DOUCE faut dire que j'avais envoyé le mp à la limite de l'ouverture du forum, ce qui était franchement con de ma part. merci p'tit coeur
Mais ??? Tu es quel genre de perle, JE COMPRENDS PAS. ET TOI AUSSI. TOUJOURS AUSSI BEAU. TOUJOURS AUSSI INTÉRESSANT ! Jpppp en vrai je me suis retenue, comme on avait dit '' avant dernier mp ''. Je voulais trop trop te répondre. PAS DU TOUT ! Je l'ai tellement attendu, si tu l'avais pas fait, j'aurai été ouin ouin dans mon coin voilà.
Invité
Invité
Mar 28 Juil 2020 - 15:14
cole mohr omg baby cole jolem ces mots ce personnage qui se dessine bienvenue par ici
Invité
Invité
Mar 28 Juil 2020 - 18:18
oh mais cole hrt: bienvenuuue
Invité
Invité
Mar 28 Juil 2020 - 19:16
@Pearl Llewellyn ÇA SUFFIT va falloir qu'on se trouve un lien, parce que ça va m'achever, de lire ta plume sans pouvoir la joindre.
@Loam Filipps hey you beautiful beast merci d'avoir enrichi la galerie mohr amour sur toi
@Lone Filipps sweet angel cet avatar, je suis sur les fesses trop intense, trop douce whaw. merci
Invité
Invité
Jeu 30 Juil 2020 - 22:48
BON J'suis in love de Birch voilà J'avais déjà lu la moitié de la fiche ces derniers jours, mais la fin là elle m'a achevée Ce personnage est excellent, la partie faits divers est une véritable pépite J'veux absolument un lien !! Bref, tout ça pour dire que je te valide, bon jeu parmi nouuuus
Pearl Llewellyn
légende urbaine
date d'inscription : 13/07/2020 messages : 582 pronouns : elle.
Jeu 30 Juil 2020 - 22:50
Ptn pour l'épouser c'est ou hdbjd.
Invité
Invité
Jeu 30 Juil 2020 - 22:52
@Oscar Fawkes mais OUI UN LIEN OBLIGÉ C'EST D'JÀ DIT DÉJÀ PRÉVU merci pour ton amour
& j'ai trouvé intéressant de décrire les parents comme ça. parce que les miller, c'est tellement des cas. que ça serait intéressant qu'les membres "croisent" ces étranges personnages lors de rp, peut-être. (j'me fais trop d'idées)